Derniers jours à Bakou

Notre visa ouzbek n'étant toujours pas prêt, nous prévoyons des excusions en dehors de la ville. 

Le temple des pyrolâtres, fondés par des indiens, il y a plusieurs siècles, fait partie des curiosités à ne pas rater. Le sous-sol azéri étant rempli de poches de gaz, la moindre étincelle peut allumer des feux quasiment perpétuels!

Le gaz n'est pas la seule richesse du pays. Au début du siècle, des nappes de pétroles ont été découvertes sous la terre. Ici, à la place de temples mystiques, ont poussés des milliers de derricks et pompes pour extraire l'or noir. Socar, la grande compagnie national, a largement contribué à la richesse du pays.

 Une mosquée éblouissante clôture notre belle journée.

 

Toutefois, nous apprenons le jour même que nous ne pouvons pas obtenir notre visa ouzbek suite à une erreur technique. Il s'avère que nos demandes de visa, que le consulat a envoyé par courrier à la capitale ouzbek, ne sont jamais arrivées à destination! Nous avons le choix de refaire une nouvelle demande et d'attendre de nouveau 8 jours, ce que nous refusons! Exit l'Ouzbékistan, y en a marre d'attendre! 

Heureusement, ce 25 juin, nous sommes rassurés d'apprendre qu'un bateau est prêt a nous emmener de l'autre côté de la Mer Caspienne. Notre prochain rendez-vous sera avec le Kazakhstan!