Lorsqu’on
s’apprête à acheter un sac de couchage, mieux vaut avoir un dictionnaire à
portée de main.
Il suffit de lire l’étiquette pour tomber sur un vocabulaire étranger au nôtre tels que : cuin, pouvoir gonflant, T° confort, T° limite, duvet d’oie, duvet de canard, et j’en passe. On a mis un certain temps pour s’y retrouver (heureusement qu’Internet est là).
Il suffit de lire l’étiquette pour tomber sur un vocabulaire étranger au nôtre tels que : cuin, pouvoir gonflant, T° confort, T° limite, duvet d’oie, duvet de canard, et j’en passe. On a mis un certain temps pour s’y retrouver (heureusement qu’Internet est là).
Nous avons choisi un sac de couchage
3 saisons qui est généreusement garni de 900g de duvet d’oie polonais (presque un
record) au pouvoir gonflant 700+ de la marque allemande Yeti. Il est probable que l’on dorme sous des
températures de l’ordre de -10°C/-15°C.
Pourquoi n’a-t-on pas opté pour un
sac de couchage 4 saisons ?
Le nôtre a une température limite de confort
à -12°C et une température extrême à -36°C. Nous dormirons sur un matelas
isolant avec des sous-vêtements chauds dans une tente à l’abri du vent. En cas
de froid extrême, nous pourrons toujours enfiler notre doudoune et notre
bonnet.
Voilà, j’espère que vous êtes rassuré.
On ne se transformera pas en glaçons ;
mais en été, sous les Tropiques et en pleine chaleur ne va-t-on pas plutôt
mourir d’hyperthermie avec toutes ses couches ? En cas de fortes chaleurs,
nous ne mettrons pas le double toit de la tente mais juste la moustiquaire.
On emporte également, ce qu’on appelle
dans le jargon du voyage, « un sac à viande », c’est-à-dire un drap
fermé (idéal contre les moustiques) dans lequel on peut se glisser. Nous avons
pris le Coolmax Traveller de la marque australienne Sea To Summit qui permet de
réguler notre température et rafraichir le corps dans les pays chauds. De plus,
le tissu est fin, élastique et très agréable au toucher. Que du bonheur !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire