Nous avons fait le choix de voyager à l’aide d’un GPS tout en gardant des cartes en papier en complément. Les cartes, que l’on achète au fur et à mesure, nous permettent d’avoir une vision globale de notre parcours et sont utiles si l’on veut changer de direction.
Laurène, grâce à une pratique
quotidienne qui ferait pâlir tout amateur d’origami, parvient à replier les
énormes cartes routières afin d’avoir en permanence un œil sur la région
traversée, accrochées à sa sacoche avant.
Philippe a choisi de s’armer d’un
GPS, une machine redoutable qui traque nos moindres mouvements et qui a
l’avantage, quand on parvient à le dompter, de se transformer en véritable
compagnon de route, nous menant vers des chemins bucoliques ou propices à la randonnée
à vélo.
Grâce à Internet, nous pouvons
également créer ou télécharger des itinéraires que d’autres cyclos ont
parcourus. L’avantage est, clairement, de rallier des lieux particuliers (musées,
campings, restaurants, adresses, etc.) sans tourner en rond.
Le choix s’est porté sur un modèle
qui a fait ses preuves auprès de millions de randonneurs, le GPSMAP 62s de la
marque Garmin. Grâce à ses nombreuses fonctionnalités, nous pouvons, entre
autre, naviguer sur des cartes gratuites provenant de l’excellent site
OpenStreetMap.
Le GPS, relié à la dynamo du vélo et
couplé à un sombre appareil au doux nom d’ewerk,
est auto alimenté en électricité…pour autant que l’on roule. Nous n’avons
donc jamais besoin de recharger les piles.
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